Découvrez le frelon asiatique
Ici, on vous parle du frelon Asiatique. Présent depuis 16 ans en France, après avoir lu cet article, vous saurez le reconnaitre, reconnaitre son nid, comprendre son mode de vie et vous méfier des risques qu'il représente.
Son nom scientifique est la « vespa velutina nigrithorax », mais on le connaît en France sous le nom de Frelon Asiatique. Il est évidemment dangereux pour l’homme, surtout lorsque l’on en est allergique (qu’est-ce qu’un choc allergique ou anaphylactique ?).
Pour les personnes non-allergiques, la piqûre peut être douloureuse mais elle n'est pas mortelle.
Comment reconnaître le frelon Asiatique ?
Le frelon asiatique mesure entre 1,7 et 3,2 cm de long. Le frelon d’Asie a l’abdomen noir avec deux liserés et un trait plus épais jaune-orange. Ses pattes et sa tête sont jaunes et son thorax noir.
Où chercher un nid de frelon Asiatique ?
Le nid de frelon asiatique se situe le plus souvent dans un arbre. Il peut être impressionnant par sa taille et il ne faut pas sous-estimer ses habitants.
A quoi ressemble un nid de frelon Asiatique ?
Les nids de frelons asiatiques ont une forme sphérique d’une taille plus ou moins grosse en fonction de la force de la colonie. L’entrée est petite, elle est de moins de 4 cm et se situe sur le côté du nid.
Comment le frelon asiatique est arrivé à se propager dans quasiment toute la France ?
Chez le frelon Asiatique, lorsqu’on laisse un nid en vie, c’est quatre nids supplémentaires l’année suivante. Les prédateurs de cet insecte sont trop peu nombreux pour inquiéter l’espèce.
Quel est le risque de laisser un nid de frelon Asiatique en vie ?
Le risque pour l’homme à court terme est faible, une piqûre simplement. Sur le long terme, si le frelon asiatique se développe encore, son risque est gigantesque pour la planète. Par son régime alimentaire essentiellement constitué d’abeilles, il tue les colonies en les empêchant de travailler pour avoir des réserves durant l’hiver. En étant un réel prédateur de nos amies les abeilles, ils vont stresser les colonies et les empêcher de récolter du nectar et du pollen pour leurs réserves hivernales.